RONDELES
I
Cette femme est une urne
qui mystiquement parfume
comme Annabel, comme Ulalume...
Cette femme est une urne.
Et pour mon âme taciturne,
pour la douleur qui la consume,
cette femme est une urne
qui mystiquement parfume...!
1915
León de Greiff
Traduit par André van Wassenhove
Biblioteca Virtual Luis Ángel Arango: http://www.lablaa.org/blaavirtual/literatura/antolo/antol38.htm